A lire... [2]
Je continu ici ma série des "A lire..." initiée il y a 10 jours avec ce premier article.
- L'article Web2.0 Winners & Losers sur Wired News, dresse la liste des 5 meilleurs et des 5 pires sites web2.0 du moment. Parmi les meilleurs, on notera la présence du frenchy Netvibes. Du coté des perdants, MySpace dont je vous laisse apprécier ci-dessous quelques extraits de la critique, ouch!!!:
They say 100 million users can't be wrong. Well, can't they? [...] The user interface is clunky and counterintuitive. Advertising is ubiquitous and invasive.
- Puisqu'on est dans les "plus mieux", Read/Write Web publie un article sur le marché du Web en France et liste les modèles les plus représentatifs dans de nombreux domaines. Netvibes est encore dans la liste, avec Zlio, Scoopeo, Wikio et beaucoup d'autres...
- Internet tel que nous le connaissons aujourd'hui serait basé sur 6 grandes mouvances ou étapes, façonnées au fil du temps par des groupes d'influenceurs de domaines différents (des communautés comme nous les appelons aujourd'hui), c'est le point de vue très intéressant de Martin Lessard dans son article Les 6 cultures d'Internet. A lire absolument!
On fait erreur à vouloir associer la vague du web 2.0 à une période temporelle ou à des outils. En acceptant l'approche qu'il existe des pelures d'oignons de culture sur Internet, on peut mieux comprendre par exemple que ce que l'on appelle web 2.0 a commencé bien avant l'an 2000[...]
- Trois volontaires du site StopDRM se dénoncent dans un commissariat après avoir contourné la loi DADVSI en copiant au format MP3, un morceau DRM acheté légalement en ligne, pour pouvoir le mettre sur un baladeur ne supportant pas les formats DRM d'Apple ou de Microsoft, et avoir copié au format DivX, un DVD acheté légalement pour pouvoir le regarder sur un baladeur vidéo (entre autres). Suivez maintenant les aventures des trois courageuses victimes dans les rouages de la justice, ici, là, et encore ici. L'idée derrière tout ça ? Très simplement résumée ci-dessous:
Ces pratiques parfaitement légitimes qui relèvent de la simple copie privée ou de l'interopérabilité à fins d'usages licites sont-elles à présent illégales au regard de la législation française ?